De Louise Doutreligne Mise en scène Jean-Luc Paliès Création 1985-1986
Avec
Claudine Fiévet – Jean-Pierre Ryngaert – Bob Montheil – Véronique Anger – Damien O’Doul – Françoise Presset – Vincent Kuentz
Décor Patrick Jude Costumes Jacqueline Brochet Musiques Laurent Chassain - Théâtre Atalante Paris, Expression 7 Limoges, Théâtre 18 (Etoile du Nord) Paris, Centre Culturel Jean Gagnant Limoges, Les Fédérés Centre Dramatique de Montluçon, Chemins de Traverse Poitou-Charentes, Tournées
Le pitch
Le parcours en sept stations d’une femme sur la voie de l’Amour, Voie étroite, pleine d’embûches à surmonter pour s’alléger à chaque passage. L’amour du père d’abord impossible, puis le rapt amoureux l’amant, jusqu’à la presque folie, le tourbillon aspirant de la femme divisée la tête à peine hors de l’eau, la tentative acharnée du à deux à tout prix jusqu’à l’échec, et enfin, la tentation de l’équilibre comme prison.
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Cheminement chaotique qui va de l’ombre à la lumière. Parcours en sept stations d’une femme vers l’amour. Il y a l’amour du père d’abord, puis l’amant jusqu’à la folie, la tentative acharnée du « à deux » à tout prix, et enfin l’équilibre passionnément recherché. Pièce après pièce voici que se reconstitue un puzzle…
Le teaser
Revue de presse
Doutreligne, un écrivain à la sensibilité exacerbée qui sait mieux que personne parler des femmes et de l’amour. Une pièce poignante. Le Figaro
Il y a là un ton reconnaissable, à base d’acidité et de notations qui font mouche en une curieuse oscillation entre laconisme et volubilité… Il y a là quelqu’un (Doutreligne-Fiévet) lancé dans une quête de soi entêtée, qui marche à l’intuition et vous tire par la manche. Jean-Pierre Leonardini – L’humanité
Le texte est haletant, la mise en scène de Jean-Luc Paliès, austère, dépouillée à la manière d’une litote, porte les mots vers leur plus extrême signification Andrée Pénot – La croix
Alliant d’une manière très personnelle l’émotion très quotidienne à une écriture volontairement littéraire, et comme le dit le titre -intérieure-, elle est l’un de nos vrais auteurs Gilles Costaz – Le Matin
L’écriture nerveuse, allusive, laisse entière liberté au Jeu. Claudine Fiévet toute à une espèce de grâce rageuse est parfaite. J.Pierre Léonardini – L’humanité