de Louise Doutreligne D’après Mira de Amescua et Goethe Mise en Scène Jean-Luc Paliès
Le Moulin du Roc, Scène Nationale de Niort (création) Théâtre Luxembourg de Meaux Centre Culturel de Fontenay-sous-Bois Théâtre de L’Epée de Bois Cartoucherie Paris
Avec
Catherine Chevallier – Valérie Dashwood puis Morgane Lombard Claudine Fievet – Laurent Meunier puis Xavier Beja – Jean-Pierre Hutinet Renaud de Manoel – Robert Ohniguian – Jean-Jacques Blanc puis Jean-Luc Paliès
Lumières - François Austerlitz Décor - Sophie Tais Costumes - Monika Eder Direction Technique - Olivier Fosse Régie Générale/Son - Alain Clement Gestuelle baroque - Michel Verschaeve Habilleuse - Sarah Nicolas
Le pitch
Voyage vers les origines du mythe européen de Faust Le vieillard Goethe revient sur terre et découvre comme dans un rêve de théâtre, ce Faust espagnol, si proche et si différent du sien : Frère Gil, un « Faust » qui a le sens du divin, mais qui las d’ascétisme, se jette sur le péché avec fureur, entraînant à sa suite une femme déçue, Lisarda qui, sur les chemins du crime, ira plus loin… jusqu’à la mort.
Le teaser
PRESSE de L’esclave du démon à la cartoucherie
Tout dans ce spectacle est alléchant : l’Espagne, le Siècle d’Or, le thème faustien et flamboyant qui se décèle dans le titre…Le spectacle fantasque est tourbillonnant… Frédéric Ferney Le Figaro
Jean-Luc Paliès pioche dans l’art espagnol, le surréalisme, les toiles de Watteau et dans tout ce qui peut servir l’esthétique d’un sujet qui prête à l’allégorie. Sa mise en scène est comme d’habitude un luxe de trouvailles et de citations. Gérard Biard Charlie-Hebdo
Grâce au travail de Louise Doutreligne voici révélée dans un spectacle tout de surprises et de mouvement la pièce l’Esclave du Démon. Les jeux d’ombre et de lumière, de masques et de miroir font naître une atmosphère de désirs, de meurtre et de quête sublimée traversée par un fascinant démon, Claudine Fiévet. Roger Maria L’humanité
Les explorations littéraires de Louise Doutreligne ont abouti à cette tragi-comédie hispanique qui a conquis un public qui a pu apprécier le baroque du décor où les ciels belges à la Magritte cohabitent avec des courbes à la Gaudi sans oublier le balcon « el amor a la reja ». Toute l’Europe était là … La Nouvelle République
La vidéo intégrale de la pièce ⬇️ https://youtu.be/4w4mRkA-wEc